Isolation des toits-terrasses

De nombreuses architectures ont été bâties avec des toitures plates, les plus fréquentes en région parisienne étant les dalles en béton du XXe siècle. 

Il existe trois types de toits-terrasses : 

Les étanchéités des toits plats ont des points faibles :  

• Les infiltrations dues à l’âge de l’étanchéité
• Le manque ou l’absence d’isolation

Les infiltrations imposent une réfection de l’étanchéité, après éventuellement une recherche de fuite par un couvreur ou étancheur (certains plombiers le pratiquent également). Cela peut alors nécessiter une réfection, soit partielle, soit totale pour réparer les fuites. 

L’absence ou le manque d’isolation va imposer des travaux plus conséquents car il faut décaper l’étanchéité présente et refaire toutes les couches à partir d’un isolant neuf. 

Cet isolant sera le plus souvent du polyuréthane, mais des complexes existent aussi à base de fibre de bois. Dans tous les cas, la dalle en béton devra être isolée par l’extérieur, pour donner ce qu’on appelle une « toiture chaude ». 

À partir des années 1970, les éléments techniques qui constituent une toiture végétalisée ont été améliorés, notamment avec l’arrivée des membranes d’étanchéité légères et résistantes à la pénétration racinaire, et de mélanges terreux allégés.